FIANARANA HO AN'NY INTER University ny saram-pianarana.

 

Ny fanapahan-kevitra mba hampitombo, indexer ou annuler les frais de scolarité, doit se baser sur des faits et pas sur des a priori.
J’étais personnellement sceptique face aux tenants de la gratuité scolaire, ou du gèle des frais de scolarité, jusqu’à ce que j’étudie les statistiques concernant la question et que je me rende compte que le bilan de la dernière hausse des frais de scolarité (1990-1995) very, aujourd & rsquo; Hui, environ deux milliards de revenus aux gouvernements provinciaux et peut-être autant aux paliers fédéral et municipal.(1)

 

Vous trouverez les détails et références sur la perte annuelle de revenues estimées à environ deux milliards de $ ny governemantam-paritany eto : http://yvesmarineau.com/blog/?p=340

 

Il est faux de dire que la hausse ou l’indexation n’a pas d’effet sur le taux de scolarisation et surtout de graduation donc, de revenues du gouvernement.
Jereo eto "ratsy F & rsquo; Ampitomboina ny saram-pianarana. » : http://yvesmarineau.com/blog/?p=232
Puisque les mesures d’aide (fampindramam-bola, vatsim-pianarana sy ny mpamory deductions) ne sont d’aucune aide pour les étudiants à temps partiels il est impératif de faire une étude interministérielle afin que des fiscalistes calculent les revenues, tena vola lany sy ny vola mivoaka mifandraika amin'ny & rsquo; F & rsquo vokany, fitomboana, F & rsquo; gel na ny F & rsquo; nirakitra anarana, fohy, mpanelanelana sy ny lavitra ezaka ny departemanta ny & rsquo; Education (ary ny anjerimanontolo), du revenu et de la santé.
Amin'ny 1990 50 % des étudiants universitaires étudiaient à temps partiels et ce sont eux qui ont été les plus touchés par la hausse de 1990-95, avec une baisse d’inscription de 20 %. Puisqu’aucune mesure d’aide n’existe pour les étudiants à temps partiel avec de bas revenues.

Il faut donc se demander s’il est décent ou indécent de demander de payer plus cher à des gens qui travaillent souvent au salaire minimum et/ou à temps partiels ?
Izany koa & rsquo; oniversite tsy tokony ho afaka, kely indrindra, pour les étudiants à temps partiels qui ont des faibles revenues ?
Puisque ceux-ci n’ont pas droit ni aux prêts, ni aux bourses et encore moins à des déductions d’impôts étant donnés leurs faibles revenues.
Ce qui engendre des pertes d’impôts et de taxes des différents paliers de gouvernement, mpanelanelana amin'ny tontolo sy ny fotoana maharitra, du seul fait de la sous graduation d’une partie importante de la population.
Il est donc urgent que des fiscalistes et comptables interministérielle calculent les coûts et pertes de revenus réels reliés aux modifications des frais de scolarité universitaire.
Raha toa ka manamafy ny rakitra hetra voangona, ao amin'ny rohy teo aloha, fitondram-panjakana dia tokony hanao ny mari, fa & rsquo; ny fandraisana anjara amin'ny anjerimanontolo fanampiny, n’est pas une dépense, mais bien comme un investissement avec un retour important sur l’investissement, ara-bola … sy ara-tsosialy.

Veloma Finaritra


Yves Marineau
Manam-pahaizana


(1)
Ny sampan-draharaha isan-karazany metatra & rsquo; nefa tsy mba nandefa ny nangataka tahirin-kevitra, démontrant une économie réelle fa ny governemanta, j’en suis venu à la conclusion qu’ils n’existaient peut-être même pas de tels documents.
Si ces documents existent j’aimerais bien en recevoir une copie pour étude. Si ces documents n’existent réellement pas j’aimerais savoir sur quoi les partisans de la hausse ou l’indexation se basent pour considérer plus économique pour le gouvernement ces options .

 

Any navela miteraka, raha toa ny loharano: http://yvesmarineau.com/blog/?p=387

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